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#06 Interview : Stéphane Desroches

Dernière mise à jour : 21 août 2021


Hello,


Aujourd'hui, je vous propose un voyage littéraire en faisant la connaissance de Stéphane Desroches. Pour le rencontrer, il vous faudra traverser l'Atlantique, alors, il a accepté de se dévoiler et nous parler de son univers qui donne la chair de poule.


Bonne lecture à tous !

 

Qui est Stéphane Desroches ?

Écrivain au col bleu du grand Montréal urbain qui se passionne pour l'écriture intuitive sans prétention. Cancre chronique sans parcours académique, il réussit à vaincre sur le tard ses lacunes littéraires à force de travail et d'efforts. Autodidacte développant un style unique bien à lui. S’inspirant de faits divers et de chroniques macabres pour tisser ses histoires fictives d'une criante réalité. Mélangeant subtilement le genre d’épouvante à la H.P. Lovecraft, la terreur incisive d'un Clive Barker, les intrigues à la Agatha Christie, les tergiversations occultes de Dennis Wheatley et l’imaginaire initiatique et époustouflant de Dan Brown.


Vrai nom ou nom de plume ? vrai nom

Pourquoi ? Pour des raisons purement légales. À fin d'impôts, de droits, d'enregistrements, etc. Qu'est-ce qui t'as conduit à l'écriture ? Après un parcours académique désastreux, j’ai roulé ma bosse dans plusieurs petits boulots ingrats, physiques et peu rémunérés. Flirtant avec la délinquance, mon avenir se dessinait plus sombre que ce que l’on peut espérer. Le destin voulut que j’attrape au vol une opportunité de travailler comme préposé d’entretien pour les écoles de mon quartier.

Côtoyant quotidiennement une jeunesse aux prises avec les mêmes difficultés que j’eus au début de mon existence.

Autant d'enfants dyslexiques, TDAH et autres qui baissent les bras et campent le rôle du cancre heureux pour se mentir d’une détresse intérieure. On finit tous par se jouer la comédie du voyou qui s’en fout.

En mûrissant d’expérience, je devins pour plusieurs de ces enfants une sorte de modèle. Grand, fort, humble et travaillant. Souvent les institutrices m’impliquaient comme exemple.


Mars 2006, j’eus un accident qui me cloua au lit pour plusieurs mois. À l’époque, j’écrivais pratiquement au son, phonétiquement. Voyant dans ce revers de fortune une épreuve imposée par la vie, je m’armais d’un dictionnaire et du Bescherelle et je me lançais un défi de terminer un roman… Un truc très privé. Ce fut très laborieux surtout que je voulais me surpasser personnellement.

Après beaucoup de recherches, je me projetais dans le premier jet. De fil en aiguille des amis, prenant connaissance de ma résolution, s’offrirent à le lire par pure curiosité… Leurs surprises m’encouragea à persister et ce rêve devint réalité, quand une petite boîte québécoise, Eris Media me publia pour une première fois en 2013.

Puis, quelques années plus tard, les Éditions Dédicaces me présentèrent une circonstance opportune et depuis, ça ne cesse de grossir vers une immense réussite individuelle ! Ayant baigné toute ma jeunesse dans le septième art d’horreur du genre ; les vieux Universal, la maison de production britannique Hammer Film, le cinéma d’épouvante italien, espagnol, mexicain, etc. mon style d’écriture s’y imprégna énormément.

J’aime prendre mon temps pour créer une ambiance, une atmosphère dérangeante. Mon plaisir est de monter des personnages avec des profils et psychologies variés. Je sais comment aller chercher le plus sombre de l’humain, mais également le plus lumineux.

À titre personnel, je pousse assez vers le macabre et le nihilisme, mais mon cœur d’enfant qui se rassurait dans le noir en se remémorant comment Peter Cushing alias Dr Van Helsing terrassait l’infâme comte Dracula, immortalisé par Peter Cushing ! Cette goutte d’espoir, elle se retrouve dans la majorité de mes écrits. Autre influence aussi, très importante, c’est celle de la musique. Je planche souvent en écoutant des compilations gothiques, EBM, industriel. Selon l’interprétation recherchée. Du heavy métal, du grégorien et plus rarement, des trucs plus intuitifs comme des tonalités style «nouvel-âge», chants bouddhistes, mongols, etc. tout ce qui peut créer un environnement propice à la rédaction, conformément à la thématique souhaitée pour optimiser l'inspiration.


Enfant, est-ce que tu inventais des histoires ? Oui, j'avais une grande imagination. J'ai tenté, très jeune, d'écrire des histoires. J'aimais cela, mais une institutrice trop zélée planchant seulement sur les fautes orthographiques rabaissa - voire écrasa - mon rêve. Ce ne fut qu'à l'âge adulte que je me «décomplexais» pour laisser libre cours à l'imagination. Si au lieu de me ramener au rang de cancre, ce professeur avait poussé mon amour de la langue française par l'amusement de créer des histoires, qui sait si aujourd'hui, je ne serais pas en train d'écrire mon 10e roman ??? (bel exemple de réussite)

As-tu un auteur modèle ? Lequel et pourquoi ? Dennis Yates Wheatley, un auteur britannique. Il rédigea de nombreux thrillers et des romans d'occultisme, au point d'être l'un des écrivains les plus vendus dans les années 1950 et 1960. Ma ressemblance avec cet auteur est qu'il surmonta ses difficultés de compositions. De plus, son genre se rapproche assez du mien dans le traitement.

Quoique ma façon de décrire soit plus moderne, un fin lecteur trouvera de petits clins d'œil ici et là. (Il y a aussi les fameux Edgar Allan Poe, Agatha Christie, Guy de Maupassant, Bram Stoker, Howard Phillips Lovecraft, Umberto Eco, Dan Brown, Michael Crichton, Barjavel, pour ne citer que ceux-là)

Quel est ton rituel d'écriture ? As-tu des grigris, des tocs, des superstitions ? Comme pour moi, rédiger est une passion, je me fixe devant mon ordinateur portable quand je le veux. Avant la folie de la pandémie de grippe, j’avais l'habitude de traîner avec moi mon laptop et m’installer des heures durant sur une terrasse ou un café de mon quartier. Même, je pouvais partir en voiture pour me retrouver dans un décor particulier. Il m’arrivait souvent d’écrire dans le confort de mon bureau, mais depuis les confinements arbitraires, ma liberté me manque. Cloîtré, penserions-nous, il serait plus aisé de composer simplement, mais il n’en est rien !

Enfin, bref… Comme habitude, j’aime bien me préparer un percolateur de café bien chaud l’hiver, ou de la limonade glacée l’été. En de rares occasions, je décapsule une bière froide que je savoure ou un vin blanc fruité ou du rosé ou un rouge sec… Je sélectionne une compilation musicale dans mon juke-box virtuel et laisse à mon imaginaire le soin de diriger mes doigts sur le clavier. Je préfère suivre une structure, un plan et je me sers d’un second écran pour y mettre mes notes, informations, références, cartes, images de personnages, etc. pour consulter promptement.

Côté superstitions, je passe mon tour… Mais continuellement, je fais des sauvegardes sur des clés USB. Jamais trop prudent avec la machinerie ou les gestes lâches de quelques rapines inopportunes… J’ai déjà payé et beaucoup perdu !


Où trouves-tu ton inspiration ? Pour un écrivain, auteur et poète, tout devient une inspiration... Le chant d'une cigale jusqu'au crépitement des flammes. Mais plus précisément, je me tiens au fait d'une foule de nouvelles, de rumeurs, etc. Je parcours le web pour y racoler des infos à l’origine disparate. Mais dans le tordeur de l’esprit créatif, devient une fiction intéressante à travailler. Je fais des amalgames tortus et je tisse au travers d'un univers infini d’inspirantes histoires.

Bien sûr, pour «Les enfants de Moloch», dès 2006, je ramassais des trucs obscurs qui ne virent le jour qu’en 2017 (les évidences de 2012 ayant été étrangement occultées par les médias mainstream de l’époque). Beaucoup de gens me demandent si je suis une sorte de devin. Juste que parfois, la vérité semble encore plus sordide que les pires songes…


Comment organises-tu ta vie pour pouvoir écrire ? Je survis au jour le jour. Je sacrifie mes vacances, mes temps libres, mes relations, mon sommeil même à l’écriture. C’est un dilemme difficile à concilier avec une personne dans son existence. Je suis par défaut célibataire en raison de mes ferveurs créatives.

Je travaille fort pour garder un niveau de vie acceptable, mais ce que je récolte de ma passion vaut mille fois plus d’abstinences encore ! C’est un choix, tout simplement ! J’aimerais vivre des ventes de mes livres, mais le système vampirique siphonne presque tout et pour 90% de l’effort, on ne gagne qu’un maigre 10%... Malgré tout, je suis fier de mes accomplissements et ne regrette rien! (bravo pour ton engagement)



Parle nous de tes ouvrages Synopsis : Alberta Prescott était ce genre de femme quasi parfaite ; indépendante, énergique, résolue, éclairé, humaniste et un tantinet excentrique. Lorsqu’une connaissance lui fit part de ses malheurs, elle fonça tête baissée dans ce qui s’avéra être une aventure extrêmement dangereuse...

Son amie, Mylène n’avait pas eu un passé et une enfance très rose ! Trois ans plus tôt, un mystérieux médecin la convainquit d’être mère porteuse pour des gens riches et célèbres. Des millionnaires voulant rester dans l’anonymat le plus total. Au terme de sa grossesse, on lui promettait un généreux boni en échange de son silence ! Très vite, l’atmosphère devint malsaine et Mylène se trouva retenue contre son gré dans un endroit qui servait de pouponnière à une organisation criminelle qui se spécialiserait dans des adoptions illicites... On lui interdit de voir sa fille et l’on arracha l’enfant à l’amour maternel de sa mère biologique. Mylène fut meurtrie dans son âme et ressentit une affreuse mélancolie, une solitude qui ne cicatrisait pas...

Deux ans s’étaient passés depuis la naissance de la petite Pamela. L’impétueuse Alberta, dilettante et altruiste de nature, se mit en tête de retrouver la trace de Pamela et de réconcilier ce qui ne semblait nullement négociable...

Le droit génétique et biologique d’une mère qui crut au marchandage de la vie et les acquis des parents adoptifs qui ont, en toute connaissance de cause, choisi un bébé par un groupuscule qui œuvrait dans la clandestinité ? Pour Alberta, c’est la voie de la justice et du bien qu’elle se devait de suivre... Mais parfois, les ténèbres et les mystères ombragent ce qui se voulait pourtant si simple ! Elle affrontera des périls mortels et de grands dangers pour faire éclater la vérité au grand jour...

Mais quelle vérité ? Le roman « les enfants de Moloch » est une histoire intégralement noire qui impose un indubitable questionnement sur les pièges de la facilité moderne et de ses convenances morales choisies à la carte. L’œuvre ne veut nullement être une apologie de nos valeurs contemporaines ou une critique de notre manière de vivre... Mais il arrive parfois que la vérité soit plus terrifiante que l’horreur des films d’épouvantes parce qu’elle se vit au quotidien !


Un extrait à nous partager ? Extrait inédit de : La tristesse du faisan (sortie prévue en octobre 2021) Une nouvelle lovecraftienne mettant en vedette un ex policier, Donovan Mc Neal, gardien de cimetière à d'étranges goules de cimetière :

Le brouillard environnant permettait une certaine couverture de visibilité à tout ce qui se trouvait tapi et dissimulé dans cette petite clairière. Ce qui s’y terrait fort sournoisement ressemblait très vaguement à six formes humaines laborieusement esquissées.

Bien que manifestement grotesques, elles se tenaient rageusement sur ce qui fut jadis le corps de l’infortuné Smith et en dévoraient goulûment les restes, le tout s’apparentait aux usages féroces des grands carnassiers, taillant la chair par les crocs en se servant de la force du cou pour en déloger muscles et ligaments encore retenus aux membres désarticulés.

Sa malheureuse carcasse avait été violemment lacérée et réduite sauvagement en lambeaux par des centaines de griffures acérées et de morsures, les unes plus simiesques que les autres. Ces créatures qui semblaient se repaître brutalement et avec avidité de la pauvre victime, se cabrèrent pour fondre dans un front commun devant la menace visible que constituait Donovan Mc Neal.

Ils brandirent avec des râlements énergiques leurs ongles comme des épines d’un rosier encore souillés d’hémoglobine et de graisse fraîche. Tout à la fois anthropomorphiques et reptiliennes, ces « goules de cimetière » ne possédaient plus qu’une très vague appartenance à l’humanité. Ils portaient des fragments de vêtements à faire frémir, ces derniers rappelaient les enfers d’un onirisme diaboliquement pervers.

D’une maigreur cadavérique, arborant indécemment une peau cendrée et nécrosée par une vie de pure démence, de longues chevelures sales et hirsutes, des arcades sourcilières proéminentes et des yeux dotés d’une expression rageuse hautement viscérale.

Un regard hagard révolté contre ce tout ce qui pouvait se révéler beau et bon en ce monde ! Une dentition anarchique de canidé — l’impression provenant du recul prononcé des gencives — leur conférait des airs d’une monstruosité morbide de traits plus que préhistoriques.

Ces créatures étaient porteuses d’une crasse indélébile de terroir de cimetière et de souillure aux relents d’excréments et d’urine. En dépit du fait qu’en cette fraction de seconde intemporelle ce genre de détail lui apparut on ne peut plus inutile, c’était évident que ces nécrophages n’en étaient aucunement à leur premier festin. Ils avaient écumé de fort nombreux caveaux pour en extraire ce qui pouvait s’avérer toujours comestible. Ici et là, des cadavres mortifiés, évidés et démembrés traînassaient en ce lieu des plus funestes.

Ces créatures infâmes s’étaient affairées à dévorer des corps vaguement momifiés, grugeant les os tout comme on le ferait très volontiers pour un quelconque bout de viande séchée. Grand mal lui en prit, Donovan qui, dans un infime moment de lucidité accrue, ouvrit le feu dans une rafale effrénée qui ne se terminerait plus qu’avec sa dernière balle. Il vida son chargeur sans même compter les cartouches éjectées par la culasse.

Les coups de pistolet finirent par porter fruit, car les goules sanguinaires assoiffées d’horreur s’enfuyaient précipitamment sans demander leur reste. La célérité de ces humanoïdes effara l’ex-policier qui tentait désespérément de vociférer encore plus fort que les hurlements des créatures, dans le seul dessein de les tenir en respect, à distance optimale…

Parle nous de cet extrait. Pourquoi l'avoir choisi ? Elle représente bien, en quelques paragraphe, l'essence de mon style... (on ressent bien ta plume acérée)

Quels sont tes projets ? Actuellement je termine plusieurs projets, dont une suite à : les enfants de Moloch. Comme je commence à me faire un nom sérieux au Québec, je suis invité à plusieurs planifications, comme participant pour des recueils de nouvelles inédites, des petits salons littéraires, des micro-conférences, des entrevues vidéo «live» en plus de multiples événements promotionnels, et ce en plus du boulot pour remplir le frigo de bières!

Je travaille activement à la circulation de mon œuvre et comme ma maison d’édition ne croit pas à la diffusion par un distributeur, je m’occupe personnellement des livraisons ! J’ai eu un véritable essor grâce à des groupes de lecture et d'horreur Facebook qui m’ont donné une réelle chance comme :

- Horreur 2.0.

- Les inconnus en librairie !

- Parrainez votre auteur Cool

- Le vlog «Chin Chin Café» de Maureen «Mau» Way

- Les mille et une pages de L. & M.

- Écrivains du Québec

- La page de Cresus Tropicoo sur Facebook

- Fairycollections qui gère le groupe public «fan de Stéphane Desroches»

- Les lecteurs de romans Noir/Horreur/Policier/Thrillers/Gore et Fantastique

- Et combien d’autres ?

Je tiens à chaleureusement les remercier tous pour leurs généreuses contributions à mon succès ! Comme objet promotionnel, j’offre à mes lecteurs des chandails style t-shirt et des signets de livres qui deviennent très populaires. Côté purement écrivain, quand le temps me le permet, je planche sur plusieurs textes en même temps.

Je prépare quelque chose de gros pour octobre 2021, soit le méga lancement de «La lignée des Heanude» et d’autres sorties tout aussi entendues.


Maison d'édition ? Autoédité ? Les deux ? Aucun ? Actuellement avec la maison d'édition Éditions Dédicaces, mais je préconise à l'avenir fleurter avec l'autoédition... (bon flirt)


Raconte nous une anecdote d'auteur, drôle de préférence. Il y en a tellement peu... J'avoue que les adversités endurées en tant qu'écrivain sont trop nombreuses. Une vie de misère pour vivre sa passion à fond.

Beaucoup de gens ne cherchent qu'à détruire la confiance, sinon l'œuvre ! Mais beaucoup d'autres équilibrent par leur amour et affection !

Comme chaque nuit laisse sa place au soleil naissant, j'ai aussi de belles expériences humaines. Combien de maman, de mères, viennent me rencontrer lors de salons littéraires pour m'exprimer une profonde gratitude par l'espoir que je leur apporte vis-à-vis leur propre enfant aux prises avec les mêmes problèmes que j'ai éprouvés, surmonté ?

Il serait facile pour moi de sortir ici et là des tête-à-tête inusités ou cocasses, mais ça serait un peu de rabaisser des personnes qui viennent faire connaissance en toute bonne foi. En général, ceux qui se déplacent pour me voir sont des êtres fantastiques ! Même s'ils déforment le titre de mon livre en «c'est qui ça ? Les enfants de Moloche ???» Ça me fait bien sourire tout en prenant la balle au bond pour les faire rentrer dans mon terrifiant univers…

J'aime le contact humain et chaque entretien me fortifie, m'apporte une richesse au-delà de celle pécuniaire... Chaque vente me permet d'affirmer haut et fort qu'on peut tous vivre ses rêves si on passe de l'idée à l'espoir puis à la création !

Que conseillerais-tu aux personnes qui veulent se lancer ? Le faire tout simplement par passion et ne pas avoir d'attentes... Je connais beaucoup d'auteur(e)s qui se chagrinent ou s'insurgent parce que la gloire ne suit pas dès la parution initiale de leur premier livre. Il faut être patient, travailler fort et voir en chaque vente une victoire au quotidien... Il faut croire en ses rêves, mais également en ses capacités et il faut trimer très fort pour aboutir et besogner encore plus sur son moral et sa personnalité... Quand je réussis à échanger avec un client potentiel mon parcours existentiel, il achètera mon roman avant tout pour m'encourager...

N'oubliez jamais la loi de l'offre et la demande. Personne n'est obligé de se procurer nos bouquins !

Ne frustrez pas de vos maigres ventes, cette image de mécontentement repousse les gens ! Souriez, aimez la vie, partagez votre passion d'écrire et un livre à la fois, vous finirez vite à défoncer votre plafond de verre !!!


Où est-ce qu'on peut se trouver tes romans ? Grâce aux codes ISBN, demandez à votre bibliothécaire municipale d'acquérir mon œuvre pour la bibliothèque de quartier. Ça aidera grandement à me faire connaître dans toute la Francophonie !


ASIN : B076V1HMMB

Amazon Kindle ISBN-10 : 1770766669

E-book ISBN-13 : 978-1770766662

Version broché Lieux de ventes les plus populaires : Amazon.fr Amazon.ca

Rakuten Kobo : cliquez ici

Donne nous les liens pour te suivre Contact : https://www.facebook.com/stephane.desroches69 https://www.facebook.com/StephaneDeschDesroches https://www.facebook.com/stephanedesroches.auteur

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Une blague à nous raconter ? Un touriste français demande à un Québécois :

- Quel est le meilleur moyen pour se rendre à l'hôpital ?

Et le Québécois de répondre :

- Rien de plus simple... Traversez ce boulevard les yeux fermés !!!

Le mot de la fin

Un grand merci Diane de m'offrir cette belle fenêtre de visibilité ! (merci à toi ;) )

 

Merci à Stéphane d'avoir été aussi complet dans ses réponses. Je ne sais pas vous, mais on sens son côté auteur passionné et c'est ça qui rend un livre bon !


N'hésitez pas à nous laisser vos commentaires. (et petit plus, à vous abonner.)


Bizzzz

Diane















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