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  • Photo du rédacteurDiane Garance

# interview L.A. Bailey



Re-re-Hello les piliers !


Jamais deux sans trois !

Plus on est de fou, plus on rit.

Quand y'en a plus, y'en a encore !

Bref, des dictons à la con j'en ai des tonnes.

Tout ça pour vous dire qu'on ne m'arrête plus. Cette semaine, j'ai posé me plume (pourtant j'étais super bien lancée), et j'ai préparé ces trois interviews.

Pourquoi ? Tout simplement parce qu'elles le valent bien.


Allez, je vous laisse avec L.A.

Je sais, c'est bizarre, mais elle s'appelle comme ça, enfin presque. 😜


 

L.A.BAILEY

Bonjour et bienvenue. Peux-tu te présenter en quelques mots ? Je suis L.A. Bailey, auteure de romans policiers, qui réside au pays de la pluie, des parapluies et des tasses de thé à n'en plus finir. on se demande où c'est ...


D'où te vient la passion de l'écriture ? J'aime créer des histoires et rencontrer des gens. Ça tombe bien, parce que justement raconter c'est la rencontre d'un auteur avec un lecteur.


Depuis quand écris-tu ? Depuis que je sais former des mots. Au début, j'écrivais de petites histoires, puis à l'adolescence de la poésie et du théâtre. Finalement après dix ans de pause, j'ai commencé à écrire des romans.


D'un point de vue "création", quelle est ton étape préférée ? Et celle qui te plaît le moins ? J'adore la première étincelle/ idée et sa concrétisation lorsqu'elle devient texte.


Quel est ton genre littéraire ? Le roman policier humaniste et psychologique. En fait, je déteste les étiquettes...


Parle nous de tes ouvrages Mon dernier roman policier en date est La Colline. Il dépeint la dure réalité de ce lieu, ce "no man's land" aux portes de Paris où rôde un tueur. Le Capitaine Lukas Drakovic et son groupe mettent tout en œuvre pour l'arrêter. Plus qu'un roman policier, La Colline parle de notre fragilité, de ces blessures que nous essayons désespérément de cacher et qui font de nous des victimes ou des bourreaux.



Un extrait à nous partager ? "Anna berça Enora dans ses bras. Elle était son rayon d’espoir. La petite fille ne tarda pas à se rendormir. L’avocate la porta dans sa chambre et l’embrassa tendrement avant de la laisser en compagnie de sa peluche préférée.

— Je compte sur toi, Monsieur Lapin.

Dans le salon, sur l’écran de télévision, un bulletin d’informations avait débuté. Le présentateur avait des airs d’acteur de films muets. Des photos de jeunes femmes apparaissaient à ses côtés. Anna monta le son. « Les victimes sont issues de la Colline. Elles se prostituaient et consommaient du crack… ». La jeune femme frissonna. Même les adultes avaient leurs cauchemars. De mauvais rêves qui hantaient le monde réel lorsque des monstres se cachaient parmi les hommes…"


Pourquoi cet extrait ? D'abord j'ai un point faible pour le personnage d'Anna. Puis, notre enfance est la clé de tout. Nos cauchemars aussi...


Quels sont tes projets ?

Peaufiner la deuxième partie de la trilogie, L'Ivresse du Sang, une enquête plus personnelle que la Colline. On y découvre un peu plus le passé de Lukas et d'Anna.


Que conseillerais-tu aux personnes qui veulent se lancer dans l'écriture ?

Écris chaque jour, même une ligne. Travaille, apprends encore et toujours, afin de devenir la meilleure version de toi-même. Ne cherche pas à être quelqu'un d'autre. Personne n'est dupe. D'ailleurs, toi non plus...


Quelle lectrice es-tu ?

Je lis peu et lentement mais je lis avec mon cœur et surtout, je lis de tout.


En 2-3 phrases, continue ce texte.

Il est onze heures du soir, Johann regarde sa montre et se demande S'il finira son interview dans les temps. Il doit encore voir sa maîtresse avant de raconter son épuisante journée à sa femme...


Comme tu es membre du Comptoir, tu dois bien avoir une petite blague à nous raconter ?


Humour anglais: comment dit-on en anglais un fou qui tombe dans la Seine ? In sane (in Seine).


Peux-tu nous donner les liens pour te suivre et se procurer tes livres ?


Le mot de la fin ?

La fin est un éternel recommencement...


 

Merci L.A. de nous avoir ouvertes les portes de ton univers.


Allez, je retourne en cuisine, j'ai d'autres victimes à cuisiner.

Bizzz

Diane

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